Apoklypse
Ma Mis Ma minutieuse Apoklypse
Des
Souffles à l’égard de l’Être-Être
dans Souffle
et comme
un Clou Clé dans de dès Poumons
élevés
Rougissants aux Festins-Holocaustes-Tammuziens Débarqués
en Vain
Sur
Orient en Vain Toquades-Poids-Fontaines Collectives
pour
Charmefoyer sous les Pléroxies
Etrangères d’Une
Nature
très très brève décalée retrouvée
dans les Bras des échos Secs
des Urines des Titans quam parum
probabilis
ideo
idea
un Coeur mystologique o fuoco di pane o frusta di pane o falco cieco
di
pane chiuso nel caos
Par le Sceau
de Ton oeil souder les verticales du Désordre dérobé
à la
Pépérennité conspiratrice
Un métal
vite monte On devient dangers! le Tumulte
On devient sursthèmes verticales
On devient Délire en Relief!
Ton Lieu Tout Lieu est
“Première Fois
Première
voûte
car je suis Soir
de vaches Occultes”
et j’aime les Alsphaltbettes fructifiantes dans
les Jardins des Souffles
Les Hauts Téléphones Saturnieux
Ma minutieuse Apoklypse
Emilio Villa [1914-2003]
(1951 - da Heurarium)
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